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Une video des Little Buddha

Publié le par Yves

 

  

 

 

 

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Les aventures de Little Buddha en Thailande

Publié le par Yves

 Je vous rappelle les faits : le clavier Thai etant trop complexe, voici la solution la plus simple que j'ai trouve. Seul soucis, pas de correcteur d'orthographe disponible sur mon carnet, et Bouddda sait pourtant s'il y en a. Bonne lecture. 

 

Il suffit de cliquer sur les pages pour les afficher en grand

 

 

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El condor se fue, vive Little Buddha

Publié le par Yves

 

Fbangkok13inalement, le condor ne s'est pas tranforme en Lotus. Il s'est tout simplement reincarne en Little Buddha. C'est assez incompre hensible, mais il faut croire qu'il etait l'elu. A part ca, ce c lavier est de pire en pire. En plus du QWERTY, ils ont ajoute la version Thai avec environ 4 caracteres par touche, c'est tres pratique. Je sens que je ne vais pas beaucoup ecrire, donc j'ecris gros. Alors profitez bien des photos, il y'a un nouvel album 'Thailande'. Hasta bientot comme disait le condor.

 

 

 

 

 

 

 


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El condor c'est fini, snif !

Publié le par Yves

Toutes les aventures du Condor dans une beau fichier pdf :

 

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Carnet de voyage Pérou-Equateur

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El condor, cadeaux d'adieu

Publié le par Yves

 

Des petites videos pour faire durer un peu le plaisir.

 

Pérou - On the road

 

 

 

Pérou - Fête, musique et manif'

 

 

 

Pérou - Festival de danses traditionnelles

Pérou - Chute d'eau et vol du Condor

 


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El condor passa... et ne repassera pas de si tôt !

Publié le par Yves

 

 

 

La descente jusqu'au refuge est un peu plus rapide, malgré un petit piège tendu involontairement par nos prédécesseurs, qui écroulèrent un pont de neige installé au-dessus d'une crevasse. Sergio, assuré par un autre guide, vérifie que personne n'est coincé au fond du « précipice », et nous démontre par la même occasion qu'il maîtrise une panoplie assez complexe de nœuds et de manœuvres d'urgence ; voilà de quoi nous rassurer, si besoin était, sur ses compétences – mais on n'était pas vraiment inquiets. Finalement, après un petit détour, nous arrivons sans encombre, pas mécontents et fourbus au parking où le frère en question nous attend avec son très opportun 4 x 4 – pour une fois que je ne crache pas dessus. Passage express à Latacunga pour récupérer nos affaires, avant de reprendre un bus pour Quito où nous attendent quelques soirées arrosées et autres visites de la capitale : el museo del Banco Central consacré à l'art équatorien et à la période précolombienne, avec les explications lumineuses d'une jeune guide passionnée ; la visite de quelques monuments, églises et places de la vieille ville, sous la houlette de Gonzalo, Chilo-équatorien érudit ; el parque del Ejido où il fait bon flâner parmi les familles, les comédiens de rues, les vendeurs ambulants ; la confortable terrasse de notre hôtel avec magnifique vue panoramique ; et pour couronner le tout, la compagnie très agréable de Carla, Lourdes, Gonzalo et son pote guitariste brillant dont j'ai malheureusement oublié le nom.

 

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Sur ce Thomas regagne ses pénates colombiennes, et je file à Mindo, paradis des ornithologues. Mindo c'est un peu comme Baños, mais en plus paisible. C'est à dire que ce village niché au milieu d'un paysage de forêt, de cours d'eau et de cascades, attire de nombreux touristes en quête de sensations « fortes », de descente de rivières en tubing, de parcours de la canopée en tyrolienne ou de traversée de vallées en tarabita. Alors c'est l'offre qui fait la demande ou l'inverse, c'est l'œuf ou la poule qui étaient chacun les premiers, je ne sais pas trop. Ce qui est certain, c'est que, outre les nombreux touristes gringos fervents amateurs de loisirs sensationnels, Mindo par sa relative proximité avec Quito, attire le week-end des citadins en masse. Bref, encore combien de temps avant que le paradis des ornithologues ne devienne un parc d'attraction géant ? D'ailleurs une chose m'épate dans ce paradis des oiseaux, c'est l'impossibilité d'emprunter ou de louer des jumelles pour une observation digne de ce nom. Dommage, car effectivement, les espèces sont nombreuses et j'aurai aimé les contempler d'un peu plus près. Mais les balades sur de petits sentiers aménagés au cœur de la forêt sont quand même très riches en découvertes floristique et faunistique, comme en atteste cette petite vidéo. Une rencontre rarissime avec l'ours à lunette, une espèce protégée, et pour cause, ultra-menacée...

 

 

 

 

Retour à Quito où il ne me reste plus qu'à dépenser mes derniers dollars au marché artisanal, ultime et incontournable étape de chaque voyage, avant d'entamer mon périple retour jusqu'à Marseille, en passant par les Caraïbes, Amsterdam et Barcelone. Drôle d'idée !

 

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El condor passa y subi a la cumbre !

Publié le par Yves

 

De retour à Lcotopaxi1atacunga, nous prospectons les agences de voyage afin de trouver le meilleur guide  montagne d'Amérique du Sud. Gros coup de bol, il habite pas très loin d'ici, s'appelle Sergio et est disponible pour nous accompagner sur le Cotopaxi. Le pri x n'est pas négociable, c'est parfait quand même. Le départ est fixé à lundi matin 11h00. Il ne nous reste plus qu'à préparer le matériel (crampons, piolet, harnais, cagoule polaire, double paire de gants, frontale...) et manger quelqu es cochonneries pour se caler l'estomac. Le 4 x 4 conduit par le frère du meilleur guide - sans doute le meilleur chauffeur d'après Thomas qui s'y connait puisqu'il a passer 6 mois à enquêter sur la question du Chili à la Colombie – nous co nduit jusqu'au frère en question. Jusqu'ici tout est clair. Puis nous pénétrons au cœur du problème, puisqu'il s'agit du Parc national Cotopaxi, où un petit  musée nous attends ainsi qu'une visite guidée par le meilleur chauffeur. Une mini pause à la Laguna, une petite ascension sinueuse, la route qui disparaît dans un brouillard dense, le vent qui accompagne la pluie, pas de doute on a vraiment de la chance côté météo. On se change rapidement derrière un abri, la voiture nous dépose à 4500 et nous entamons une petite montée d'environ 45 minutes jusqu'au refuge José Rivas situé à 4800 mètres. Le sol est constitué de « sable » grossier et de graviers volcaniques (comment ça vous ne connaissez pas le gravier volcanique?), et chaque pas vers le haut est accompagné d'un petit dérapage dans l'autre sens ; ce qui ravit Thomas. Une fois au gite, il ne nous reste plus rien à faire, si ce n'est attendre minuit - il est environ 14h00 – en buvant du thé, en buvant des soupes, en avalant des pâtes, en faisant semblant de dormir, en regardant les nuages se dissiper, les cimes se dessiner, le panorama se dévoiler, puis le soleil se coucher. A minuit tous les protagonistes candidats à l'ascension se lèvent après n'avoir pas fermé l'œil, revêtent leur scaphandre de combat et s'attablent pour un cotopaxi2petit déjeuner très matinal dont personne n'a vraiment envie. Il faut dire qu'on a mangé à 14h00, à 17h30 et maintenant à minuit. A une heure, nous sommes parfaitement prêts et équipés, la frontale vissée dur la tête, le piolet à la main, et un nombre incalculable de couches vestimentaires pour faire face aux a s saut venteux. Nous avons enfilé le harnais mais pour cette première partie dans le gravier volcanique d'environ une heure trente, il n'est pas utile de s'encorder. Les crampons sont dans le sac à dos, et nous les chaussons une fois arrivés sur le glacier. La suite de la marche se déroule sur une neige gelée, donc très stable (c'est d'ailleurs pour cette raison que nous grimpons de nuit), et sous un magnifique ciel étoile. L'air est si pur que nous apercevons les lumières des villes, toutes proches, Latacunga au Sud, Quito au Nord, comme si la capitale équatorienne était aux pieds du volcan. Sergio impose un rythme assez lent mais parfaitement régulier. Il connaît parfaitement sa mission, le temps de parcours nécessaire pour chaque passage, les moments et les lieux où faire une pause, les moments où il faut marcher, coûte que coûte même si à la fin Thomas se déplace comme un zombie, même s'il rêve d'une sieste à l'ombre d'un cocotier... surtout qu'il ne reste pas grand chose. Mais ce pas grand chose, à presque 6000 mètres, ressemble à une épreuve de force. Alors il puise dans des recoins insoupçonnés, avale une dernière gorgée de Gatorade, ingurgite un ultime Milky way gelé et repart pour les derniers virages.

Vers 6h30 nous sommes arrivés au sommet et là ça se passe de commentaires. « La cumbre ou la muerte » disait le gars de l'agence. Alors on opte pour la cumbre, quoique pour certain, c'est un peu les deux à la fois.

 

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C'est du propre, sortez le savon de Marseille !

Publié le par Yves

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montage poubelles

 

Grève des rippers marseillais


 

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El condor passa - un vrai bolide

Publié le par Yves

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quilotoa1Thomas débarqué fraîchement de Cali (enfin je devrais dire chaudement à cause de la météo clémente et surtout à cause des filles...) n'a pas perdu de temps pour contacter quelques couchsurfeurs rencontrés au cours de son récent périple sud américain. Pour les ignorants du couchsurfing c'est simple, suivez le lien : http://www.couchsurfing.org/ La première soirée se termine donc sur fond de musique pseudo latino, au fond d'une carafe mojito, dans le fond d'un bar de Mariscal, le quartier quiteños où ça bouge. Évidement, le lendemain, nous ne sommes pas des plus efficaces pour gagner la gare routière située à babeloued et trouver un bus pour Latacunga. A Latacunga, nous manquons de peu le dernier bus en partance pour Isinlivi et tous nos plans tombent à l'eau. Nous changeons donc les plans, il suffisait d'y penser, et filons vers Quilotoa, hameau perché au dessus du lac du même nom, situé 400 m en contrebas, au fond d'un énième cratère. Le vent est assez fort, nous sommes a 3900 m et il fait frais. Qu'à cela ne tienne car une bouteille de rhum Caldas fraîchement débarquée de Cali, ainsi qu'un poêle à bois judicieusement installé dans la chambre nous tendent les bras. Je voudrais pas dire, mais je vais le dire quand même, depuis que Tom Tom est arrivé, qu'est-ce qu'on picole ! Je voudrais quand même dire aussi qu'on est venu dans la région pour entraîner et acclimater le Franco-colombien à l'altitude, pas pour habituer notre corps à la boisson. Après deux jours de randonnée, l'opération acclimatation s'avère être un échec total puisque les jambes de Thomas ne sont plus qu'un tas de coton. Qui a dit que les kinés s'étiraient pour éliminer l'acide lactique contenu dans les quadriceps ? Par contre la balade autour du volcan, la descente au fond du canyon, la remontée jusqu'au village de Chugchilan, le bivouac dans les champs, le retour par une piste longue et sinueuse, les paysages arides et spectaculaires, les puissantes rafales de vent et autres mini tornades, la poussière dans ta face et puis un peu partout en fait... tout ça c'était vraiment chouette.

 

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El condor passa, toujours plus vite !

Publié le par Yves

La suite de l'histoire se déroule dans l'Oriente, c'est á dire á l'Est de la Sierra, c'est á dire dans la jungle, celle qui commence paisiblement sur les contreforts andins et qui petit á petit devient Amazonie. De Baños á Puyo, de Puyo á Tena, de Tena á Ahuano, via plusieurs bus et finalement une pirogue (á moteur dommage) pour arriver dans un paisible village où je trouve un hébergement auprès d'une famille. La maison est juste au bord du fleuve et la vue de la chambre á travers la moustiquaire est plutôt chouette. Baignade dans le fleuve transformé par les courants en Aqualand, randonnée en forêt au milieu d'une végétation hallucinante voire impénétrable si ce n'est via quelques sentiers judicieusement entretenus, beaucoup de bruits et de cris, mais difficile d'apercevoir des bestioles dans cette densité végétale. Du coup je visite un centre de soins, dédié aux animaux sauvages blessés, la plupart chassés ou braconnés pour leurs plumes, leur fourrure, ou simplement leur viande. C'est un peu triste toutes ces bêtes enfermés mais ca reflète la difficulté de préserver des espèces, pour la plupart menacées, pas seulement par l'exploitation de la foret et du pétrole, mais simplement par l'usage qu'en ont les indigènes. A part ca, je glande dans le village, regarde nager les gosses et passer les pirogues. Il fait chaud et le farniente est de rigueur. La route de Tena a Quito est réellement magnifique. Rien á envier a celle de Baños-Tena dont on nous rebat les oreilles. Passage express a la gare routière de Quito et changement de bus en direction d'Otavalo, le royaume de l'artisanat. C'est vrai que le marché est assez bien fourni mais on trouve á peu près la même chose un peu partout. Il parait que c'est la folie le samedi, tant mieux on est dimanche. Les habitants d'Otavalo ont gardé pour la plupart une tenue traditionnelle (des pieds á la tete) tout en ayant adopté un mode de vie moderne. Le mélange des genres donne parfois des scènes assez surprenantes voire incongrues. Il pleut pendant deux jours et ça tombe plutôt bien car un violent problème gastrique vient de gâcher mes jolies vacances. Sans doute un truc attrapé sur un marché, un truc tenace qui ne cédera sa place qu'aux antibios. Le troisième jour, je refais surface et c'est tant mieux car la météo retrouve le sourire. Je fais donc une belle randonnée autour de la laguna Cuicocha, encore un lac au fond d'un cratère ; mais celui-là est un peu particulier puisqu'il héberge deux îlots recouverts de végétation. D'ailleurs c'est pas ce qui manque par ici, le sentier est un véritable jardin tropical, équatorial devrais-je dire. D'ailleurs ça me fait penser que je suis passé dans l'hémisphère nord. C'est fou non !?

 

La suite c'est avec el señor Thomas, et je vous préviens, c'est pas de la gnognotte.

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